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intéressant, dommage qu'il n'y est pas plus d'articles.
Par coachmanu, le 08.11.2010
excellent article. j'étais pas du tout au courant et c'est clair que c'est pas banal.
Par Clement, le 04.10.2010
olajuwon, meilleur pivot de tous les temps ????
y'a erreur là non?
Par willicna, le 21.09.2010
et bien que dire, j'ai rien appris sur les bulls hein mais par contre sur l'histoire de la ville, j'en ai eu p
Par Anonyme, le 14.08.2010
merci pour la précision, je m'en vais corriger ça de suite. j'ai confondu les deux mots dans la précipitation
Par mikeny, le 14.08.2010
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Date de création : 09.08.2010
Dernière mise à jour :
23.01.2011
55 articles
Il y a quelques mois, si on vous disait que les Hornets auraient l'opportunité de par ses fans de rester dans la ville du Jazz, peu d'entre vous auraient pris l'information avec sérieux.
Et pourtant le projet mis en place sur le site SaveourHornets.com proposant une mise à jour quotidienne après chaque matchs effectué à domicile pourrait bien permettre aux Frelons de prolonger l'aventure jusqu'en 2014.
Il ne reste plus que 56 641 spectateurs à avoir sur 4 matchs avec donc comme énuméré précédemment la réception du Thunder, des Lakers, des Wizards et enfin des Wolves de Minnesota !!
Il ne reste plus qu'à attendre mais on voit mal la moyenne ne pas être atteint avec de si bon résultat ! Rendez vous le 7 Février !!
Au départ, la condition était que lors des 14 prochains matchs à la maison, les Hornets réalise une moyenne équivalent à un peu plus de 14600 spectateurs. Où en somme nous depuis ? Le constat est simple, très peu de retomber dans les premières semaine. La vente de billet s'estompait en même temps que la baisse de régime de leur équipe. Chris Paul n'y était plus, Trevor Ariza envoyait brique sur brique, Emeka Okafor n'était plus aussi fringuant et comme si cela n'était pas suffisant Marcus Thornton le chouchou du public (Ancien de LSU, ceci explique celà !!). Plus le temps passait, plus la moyenne voulu augmentait. On passait de 14600 à environ 14900 par matches.
Mais tout ceci est de l'histoire ancienne, les Hornets reste sur 8 victoires en saison régulière avec des succès de prestige comme à l'arraché face au Magic d'Orlando, une fessée à Atlanta devant les yeux désabusée de Al Horford ou encore d'une autre vedette de la ville Jason Heyward (Joueur des Braves au Baseball qui avait fait le déplacement). Je n'omet bien entendu pas la revanche face aux Spurs avec un Chris Paul qui défend à merveille sur son ami et adversaire d'un soir, j'ai nommé Tony Parker. Ce dernier complètement désorientée n'a pas délivré la moindre passe, difficile à croire nan ? Bon, je vous l'accorde ce n'est rien comparé au pourcentage de réussite des Hornets à 3 points (Trevor à 100 pour cent qui a arrêté temporairement d'écouté Another brick in the wall avant de rentrer sur le terrain. C'est Pink Floyd qui va être content !).
Le principal facteur de cette rédemption ne compte pas plus d'un mot : D-E-F-E-N-S-E !!! Lors de ce run incroyable, qui constitue l'équipe la plus en forme du moment, les Frelons n'ont concédés que 83 points de moyennes.
Cet aparté étant fini, parlons des chiffres, c'est tout de même ce qui nous intéresse par dessus tout nan ?
Depuis, peu et grâce notamment à la venue des Spurs et des Lakers entre autres, la moyenne de spectateurs attendu est beaucoup moins ample. On attend désormais un peu plus de 14100 spectateurs par match. Nous pouvons légitimement pensé qu'avec la réception dès demain du Thunder et prochainement des Lakers, les hommes de Monty Williams pourront rester en Lousiane et alléger leur conscience pour se concentrer sur leur basket.
C'est la grande question de ce début de championnat Nord Américain. Véritable surprise pour l'ensemble du ballon orange, y compris les Hornets Fans. Rien ne semble pouvoir bouleverser la dynamique des Hornets.
Tout le monde pensait à un feu de paille qui allait s'éteindre très rapidement, mais le feu est resté intact comme si on avait allumer la mèche avec un énorme chalumeau. Cela n'était pas la seule supposition car les Bookmakers pronostiquait si ce n'était pas les Lakers, le Heat ou le champion de la conférence Es, à savoir les Celtics. Alors qui est resté invaincu après plus de deux semaines de compétition ?
La dernière équipe n'est pas le Magic, les Lakers, le Heat, ou encore les Celtics. Alors peut être les Blazers, les Mavericks ou encore les Bulls ? Non, vraiment rien de tout ça et poutant la qualité est bien présente. Donc ce doit être les Knicks, Nets, Raptors, 76ers, Cavaliers, Pistons, Pacers, Bucks, Hawks, Bobcats, Wizards, Clippers, Suns, Kings, Warriors, Thunder, Grizzlies, Jazz, Nuggets, Timberwolves, Rockets, ou les Spurs voilà j'ai trouvé ? Et bien non puisque la seule équipe invaincue c'est les Hornets de la nouvelle Orleans !!! Non vous ne rêvez pas, ceci est bien un fait réel.
Les Hornets souvenez vous c'est bien l'équipe qui subissait les rumeurs d'un hypothétique départ et qui était souvent associez au terrible mot de "Loser !!". Toutes ces rumeurs avec un futur alliance Stoud-Melo-CP3 qui faisait surface, ça y est vous vous en rappelez ?
Bien maintenant que votre mémoire ne vous joue plus un mauvais tour, rappelez vous également 9 nouvelles additions dont un nouveau coach, Monty Williams. Qui ça ? Oui cet illustre inconnu en provenance de Portland ainsi qu'un nouveau General Manager en la personne de Dell Demps. Loin d'être une révolution certains disaient, enfin certain .. 95 pour cent disaient que ce n'était pas ça qui allait retenir Chris Paul n'est ce pas ? En attendant ou est New York ? Une défaite à domicile face à Minnesota ? Autant pour moi.
Durant les 8 premiers matchs, les Hornets ont notamment battus les Nuggets de Carmelo Anthony mais ne se sont pas arrêtés en si bon chemin. Lors du back to back ils dégoutent leur éternal rival (San Antonio) et poursuivent leur route tranquille en exterminant tout sur leur passage. les Bucks par deux fois, les Clippers, les Rockets, les Clippers, les Blazzers et enfin le Heat de Lebron James, Dwyane Wade ou encore Chris Bosh, rien que ça.
Les gens se posent alors la question : Mais quand vont-ils s'arrêter ? Nous savons bien évidemment qu'ils ne finiront pas invaincus, cela serait de la pure folie. Rien qu'en regardant le calendrier des Frelons la défaite semble imminente, un rythme si imposant ne peut être assuré même si ils ont réaliser des back to back dantesque.
La semaine prochaine les coéquipiers de Chris Paul affrontent les Mavericks de Dallas par deux fois en trois jours seulement. Le premier d'entre eux se jouera par ailleurs à Dallas. La défaite pourrait donc survenir dès le prochain match car les Hornets serait favori dans le duel à la maison et enfin encore favori face aux Cavaliers.
Alors si rien ne bouge, après cela une autre semaine délicate les attends, la quatrième si on fait les comptes. Ils auront 4 matchs en road trip : Sacramento, Clippers, Jazz et enfin les Blazers qu'ils ont exterminés il y a peu de temps. Ils peuvent prétendre fort logiquement à une victoire face aux Kings et Clippers mais les deux derniers matchs seront bien plus compliqués.
Mais, allons dans le fantasme pur et dur, rien ne nous y empêche. Après tout le fantasme du 8/0 a été réalisé. Allez poussons le vice, si les Hornets arrivent à 15/0 (WOW !!), le week end qui suit ils devront affronter à l'extérieur les Spurs ainsi que le Thunder, ce qui devrait effectivement couper ce doux rêve dont nous nous délectons.
Le Planning est très dur et Dallas reste une étape très compliqué. Et vous qu'en pensez vous ?
Avec la saison NBA qui s'ouvre demain soir, Hornets.com et les autres invités de cette division répondent à nos questions, nos intérrogations. Parmi eux, Mark Folowill (Mavericks), Jason Friedman (Rockets), Matt Tumbleson (Grizzlies), Andrew Mcneil (Spurs).
Dans vos équipes respectives, quels sont vos plus grosses craintes ?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: Les Mavericks peuvent-ils gérer un effectif aussi âgés ? Dallas aura 6 joueurs âgé de 30 ans ou plus. Vous avez besoin de Vétéran pour gagner et aller le plus loin possible durant les playoffs mais la fatigue arrive à point nommé pour les joueurs de Dallas. Bien trop souvent, les vétérans ont joués beaucoup de minutes pour parvenir à acquérir un bon classement en saison régulière. Le problème c'est qu'il arrive souvent "cramé" en playoff. Par exemple, Jason Kidd a joué 36 minutes de moyenne en saison régulière, lui qui est désormais âgé de 36 ans. Cette lourde charge de travail a été préjudiciable lors du match face aux Spurs.
Jason Friedman, Rockets.com: Je n'ai pas besoin de 100 mots pour vous dire cela, juste deux suffiront : Yao Ming. Tout le monde connait la force de ce joueur et ce dont il est capable. Il ne dépassera pas les 24 minutes de moyenne par match et chose positive, c'est qu'il n'a éprouvé aucune douleur lors de la pré saison. Sa santé est bonne. Si tout va bien et avec le retour de Yao, les Rockets auront de grandes chances de dominer la division. Dans le cas contraire, ce sera beaucoup plus difficile, autant pour le joueur que pour le club. Yao mérite bien mieux que cela.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: La plus grande inquiétude de cette saison reste la solidité du banc. Est ce que ce dernier pourra être productif. Si Thabeet, Young et Arthur rajoutent un petit plus vis à vis du cinq de départ cela ne peut être que bénéfique pour l'équipe. D'autant plus que Tony Allen est venue rajouté son explosivité.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: C'est l'année du renouveau. Il y a une nouvelle équipe en place. Un nouveau General Manager en la personne de Dell Demps, un nouveau coach qu'est Monty Williams et seulement 6 joueurs faisaient partis de l'effectif en 2009/10. Comment se comporteront le nouveau GM et le nouveau coach pour les débuts ? Comment se comporteront les nouveaux joueurs acquis lors de l'off season ? (surtout pour Trevor Ariza qui semble l'arme offensive numéro 3 derrière David West et Chris Paul). Les Hornets ont tentés de développer une alchimie lors de la pré saison et de donner du temps de jeu à chacun.
Andrew McNeill, Spurs blogger: San Antonio peut il garder le pick and roll ? Rappelons que ce système a connu une faillite lors de la série face aux Suns de Phoenix. Tim Duncan n'a pas la rapidité latérale pour défendre et faire des écrans sur des arrières. Il peut seulement espérer les gêner un minimum. Heureusement pour les Spurs, leur nouvelle acquisition Tiago Splitter vient directement de l'Espagne et détient une certaine intelligence de jeu. Si Tiago est aussi bon que certains le disent, San Antonio peut redevenir une des meilleurs équipes sur le plan défensif.
Quelles sont les choses qui peuvent vous rendre optimiste ?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: L'alchimie entre deux générations. L'ancienne avec les vétérans et les jeunes qui poussent la porte. Beaubois devrait avoir un temps de jeu beaucoup plus conséquent. Jones nous a montré de biens belles choses. Lui aussi pourrait être un acteur durant cette saison. L'ancien Hornets Tyson Chandler est en bonne santé, Caron Butler et Jason Terry ont un contrat qui arrive à expiration et enfin Dirk Nowitzki est toujours à la recherche de son premier titre. Ce qui devrait constitue une motivation supplémentaire.
Jason Friedman, Rockets.com: Le slogan des Rockets cette année est "Red Rising" mais pourrait vite devenir "Strengh Numbers". Ce changement fictif, constitue le fait que la profondeur du banc des Rockets est très bonne. Un plus pour cette saison, lorsque les blessures frapperont le club. Les Rockets veulent également rattraper le temps perdus et avec tout les talents présent, cette saison ne peut être que meilleur.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: Le cinq majeur est la meilleure garantie de l'équipe et était déjà la clé la saison dernière. Mike Coley a démontré lors des deux dernières saisons qu'il pouvait jouer à haut niveau, Rudy Gay est un très bon scoreur, Marc Gasol et O.J Mayo entre seulement dans leur 3ème saison NBA.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: Le nouveau 5 de départ est une force (Paul, Belinelli, Ariza, West, Okafor), surement l'un des meilleurs depuis bien longtemps.Cependant, les cinq n'ont pas joués beaucoup ensemble, ce qui est en partie dû à la blessure de David West durant la pré saison. Belinelli fût excellent lors de cette pré saison, tandis que Jason Smith fût l'une des bonne surprise dans le remplacement de David West.
Andrew McNeill, Spurs blogger: La santé. C'est la première saison depuis bien longtemps que tout les joueurs à disposition sont en bonne santé. Tony Parker et Manu Ginobilli sont restés au lieu de disputer le championnat du monde de Basketball en Turquie. C'est la clé pour les Spurs cette saison, limiter le risque de blessure.
Quel est le plus grosse préoccupation pour votre équipe au début de la saison ?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: Aborder le début de la saison tambour battant, c'est ce qui nous a fait défaut la saison dernière. Cela a été l'une des discussions abordé par Rick Carlisle dans le bus avec ses joueurs. Nul doute que ce sera l'une des préoccupations de ce début de saison.
Jason Friedman, Rockets.com: Comme tout le monde s'en doute, c'est l'aspect des blessures qui monopolise nos esprits. Kevin Martin et Yao Ming ont ratés beaucoup de matchs durant les dernières saisons. Une tendance qui devra changé cette saison si nous voulons aller de l'avant et s'incruster dans le quatuor de tête en conférence Ouest.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: La santé est le facteur numéro 1. Les Grizzlies n'ont pas eux beaucoup de blessures lors de ses deux dernières saisons, mais il n'en reste pas moins qu'une blessure est si vite arrivée et peut être lourde de conséquence.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: L'intégration des nouveaux joueurs et leur complémentarité avec les anciens tels que David West et Chris Paul pour ne citer qu'eux. Sans oublier le programme qui nous attend. 10 des 11 équipes que nous jouons dès le début de saison ont finis avec un ratio de 50 pour cent voir plus. Un challenge de taille, il faudra donc se tenir prêt. Dans la conférence Ouest, il est interdit de débuter la saison lentement.
Andrew McNeill, Spurs blogger: La santé également. Tim Duncan et Manu Ginobili sont devenus assez fragile à ce moment de leur carrière. Tony Parker a été gêné la saison dernière par plusieurs blessures. Tiago a connu une micro blessure lors de la pré saison et avait pour habitude d'en connaître quelques unes également en Espagne.
Sans y inclure votre équipe, quel club de la division peut aller le plus loin ?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: Je dirais Houston. Je pense que Rick Adelman ferra tout pour cela. J'ai toujours eu une grande admiration envers Yao Ming et j'espère qu'il rebondira après sa blessure. Sans oublier la constante progression d'Aaron Brooks. Si Kevin Martin ne se blesse pas et assure le scoring cela peut donenr quelque chose de grand.
Jason Friedman, Rockets.com: Tant que Manu Ginobili, Tim Duncan et Tony Parker seront aux Spurs, ils seront toujours les favoris de la division pour moi. Sans pour autant oublier le génie du Coach Popovich. Certains trouvent le jeu de San Antonio ennuyeux, moi j'appelle cela du beau basket.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: Il sera intéressant de voir comment les Spurs vont se comporter encore une fois avant que Tim Duncan ne soit usé. Bien que les spécialistes ont prévus la chute des Spurs depuis quelques années maintenant, ils ont toujours les armes pour lutter avec les Lakers.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: Houston, parce que les prédictions les mettent parmi les favoris et c'est légitime. Je suis pressé de voir comment les Rockets vont se débrouiller si Yao Ming et Kevin Martin ne se blesse pas.
Andrew McNeill, Spurs blogger: Aucune préférence ou quoi que ce soit mais je dirais les Hornets de la Nouvelle Orleans. Chris Paul est l'un des joueurs que je préfère voir évoluer. Avec Paul au top cette année, en supposant qu'aucun transfert ne se fera, les Hornets peuvent dominer la division.
Avec les 10 autres équipes de la conférence Ouest, quel club êtes vous le plus impatient de voir évoluer cette saison ?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: Définitivement, les Thunders de Kevin Durant. La saison dernière le jeune effectif des Thunders avaient donné du fil à retordre aux Lakers lors du 1er tour des playoffs. Kevin Durant peut-il devenir MVP de la ligue avec l'humilité qui le caractérise ? Ils doivent néamoins jouer désormais avec une certaine pression sur le dos, un changement de taille.
Jason Friedman, Rockets.com: Cela doit être la ville d'Oklahoma. Pourquoi ? Lebron James a fait la une de tout les magazine cette été mais pour moi Kevin Durant aurait du en recevoir autant. C'est toujours un plaisir de voir les Thunders jouer.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: Les Clippers attisent ma curiosité. Blake Griffin va enfin débuter cette saison et je suis excité à l'idée de le voir à l'oeuvre. Blake est là pour aider les Clippers à accrocher les playoffs cette saison, mais il devra tenir compte de l'histoire du club. Une révolution est peut être en marche.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: La ville d'Oaklahoma est venue quelques peu déranger els Lakers en accrochant le game 7. C'est la nouvelle force de la conférence Ouest. Derrière le duo Westbrook/Durant cela devrait être fascinant de voir si le reste suit.
Andrew McNeill, Spurs blogger: Pour moi, ce sera les Bucks de Milwaukee et les Clippers de Los Angeles. Je vais regarder beaucoup de leur matchs grace à mon league pass. Mais puisque l'on m'a demandé pour la conférence Ouest je dirais les Clippers. Blake Griffin est déjà un monstre pour moi.
Toujours sans y inclure votre équipe, quel sera le rookie de la division selon vous ?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: Je pencherais pour Tiago Splitter des Spurs. Ce n'est en aucun cas un rookie ordinaire. Le brésilien était le MVP de la saison dernière en Espagne et détient déjà une bonne expérience pour pouvoir s'acclimater directement au jeu des Spurs.
Jason Friedman, Rockets.com: Il semble que nous avons entendus parler du potentiel de Tiago pour la nouvelle décennie. Avec un recul lors des dernières années, les Spurs ont besoin d'un joueur tel que Splitter. Reste désormais à voir comment de dernier se comportera.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: Nous sommes tous en adéquation la dessus, l'international Brésilien pourrait être un des acteurs principaux de cette saison pour les Spurs.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: Tiago Splitter. Il y a eu tellement de discussions sur lui que cela va de soit. Je suis pressé de voir Xavier Henry également car les Grizzlies ont besoins de ce genre de joueur capable de tirer dans beaucoup de positions différentes.
Andrew McNeill, Spurs blogger: C'est difficile d'en choisir un sans avoir vu de match officiel, néanmoins je choisirais Patrick Patterson des Rockets. Je ne suis pas dithyrambique à son sujet mais je pense qu'il peut apporter un petit plus à l'effectif de Houston.
A votre avis, quel sera le joueur de la division qui connaitra la meilleure progression?
Mark Followill, Mavericks TV broadcaster: Je ne l'ai jamais dit auparavant mais sas hésitation : Marcus Thornton. Il fait parti des 4 joueurs qui peuvent apporter énormément offensivement pour les Hornets. En tant que Rookie il a inscrit 14.5 points de moyenne et il n'y a pas de raisons qu'il ne fasse pas mieux cette saison.
Jason Friedman, Rockets.com: Je prend le pari que Rodrigue Beaubois va éclater cette saison dans l'effectif de Dallas. Les Mavs ont besoins de fraicheur et c'est ce que Rodrigue Beaubois peut leur apporter.
Matt Tumbleson, grizzlies.com: Rodrigue Beaubois. C'est un jeune joueur, il est athlétique, et rapide. C'est parfait pour pallier avec les qualités que possède déjà Jason Kidd. Les deux sont complémentaires. Il va surement gagner pas mal de temps de jeu vu que celui de Kidd va diminuer.
Jim Eichenhofer, Hornets.com: Je n'ai pas vraiment un avis tranché sur la question, mais sur les sophomores je garderais un oeil sur Rodrigue Beaubois, Sam Young, Chase Budinger et Dajuan Blair.
Andrew McNeill, Spurs blogger: Chris Paul. Bon certes ce n'est pas une progression proprement dites. Mais beaucoup de personnes oublient qu'il est et restera le meilleur meneur de la ligue (sa blessure a fait oublier beaucoup de choses) et un des quatre meilleurs joueurs de la ligue, du moins c'ets mon ressenti. Loin des yeux, loin du coeur je crois.
Grosse surprise de l'an dernier, Marcus Thornton a impressionné tout les analystes et les fans du ballon orange. Ce dernier, semble avoir le souffle coupé en pré saison 2010. Belinelli lui a même piqué sa place de starter. Monty Williams a déclaré qu'il préférait Marcus en sortie de banc, est ce que cette déclaration a affecté le moral du jeune joueur, telle est la question ...
L'an dernier Marcus était l'un des meilleurs joueurs de l'effectif et la surprise avec l'autre rookie de l'effectif, Darren Collison. Capable de scorer dans toute les positions inimaginables, il avait tirer les Hornets vers le haut après la blessure de Chris Paul.
Jeff Bower déclare a son sujet : "Il joue vraiment très bien, je suis extrèmement confiant pour la suite car il a cette faculté à diversifier son jeu et à une marge de progression énorme, il s'améliore continuellement grâce aux conseils qu'il reçoit. Je crois que si il continue a travailler comme ile le fait, ses qualités naturelles vont devenir encore plus grandes et fera partie intégrante de notre système de jeu, il me fait vraiment une grande impression en tant que rookie".
En analysant les stats de Marcus, la chose la plus impressionnante reste tout de même son pourcentage à 3 points qui est de 37.5 pour cent (40 pour cent dans les matchs à domicile), un pourcentage plutôt élevé pour un rookie sélectionné aussi tardivement. De plus le shoot à trois points fait partie intégrante de la palette offensive du joueur.
"Il prend de bonne décision offensivement parlant et peut par la même occasion profiter de son jeu en pénétration, tout comme son tir lointain. Il sait également provoquer les fautes. Son jeu évolue de jour en jour" déclare Jeff Bower.
En prenant la peine d'ajouter : " Cela prend du temps d'arriver à diversifier son jeu et de jouer juste mais je dois avouer que Marcus a un certain don et fait cela très rapidement".
Revenons sur la période post all star break car vous allez me dire oui mais Tyreke à les clés de la franchise etc .. gobe plus de rebond mais à 10 minutes de plus en moyenne !!! Marcus Thornton n'est quant à lui pas l'arme offensive numéro 1 des Hornets .. je m'égarre donc retour sur cette période.
Thornton a compilé une moyenne de 20.8 points après le all star break à compter donc du 17 Févrieret en ce qui concerne les lancers francs il tournait à environ 87 pour cent donc une marge de progression significative qui nous fait espérer. Quel Rookie qui a fait une fin de saison si omnibulante s'est vu complètement foiré les saisons suivantes ? Je n'en ai par ailleurs aucun souvenir .. Un optimisme donc relatif !
En sortant un match énorme face aux Cavs de Cleveland, ce dernier était innarétable. Lebron était pourtant continuellement sur son dos mais rien n'y fait.
En jouant 31 minutes en sortie de banc, il a été le record man de points par un jeune de 22 ans pour les Hornets. Un autre record qui est encore plus impressionnant c'est que le rookie a inscrit 23 points en un seul quarts temps au Quicken Loans Arena.
Un match mémorable ou son shoot était quasiment infaillible avec un 15/22 aux shoots, NBA.COM écrira par la suite que Marcus Thornton a regardé Lebron James comme le joueur qu'il est et pas ce qu'il représente. Notons que Lebron James avait pris Thornton en défense après la défaillance de Delonte West et de Mo Williams mais sans succès car Marcus était ce soir là sur une autre planète.
Une autre planète que tarde à retrouver le joueur des Hornets. Durant cette pré saison, Marcus n'a jamais été capable d'accélérer. Pire encore, ce dernier n'a même pas atteint els 20 pour cent aux shots. Certes ce n'est que de la pré saison mais tout de même, on n'a jamais été habitué à une telle déchéance de sa part.
Un système de jeu qui ne lui convient pas avec beaucoup plus de shoot lointain, Belinelli a beaucoup plus d'aisance et de facilité dans ce domaine et c'est ce qui donne beaucoup plus de travail à Marcus. Autre facteur de risque, Marcus Thornton est attendu au tournant et les défenseurs sont de plus en plus sur son dos. Il se peut également que le joueur reste focalisé sur sa défense vu que c'est son gros point faible et qu'il commence à être comblé.
Alors, véritable inquiétude ou simple méforme passagère. Peu de personnes sont capables de répondre avec certitude. On sait que le joueur aime relever les défis et que la pré saison n'est pas source de motivation pou lui, il n'y a donc plus qu'à espérer que cela se vérifie dès le début de la saison. Notons aussi que Thornton a très peu jouer en pré saison avec Chris Paul, attendons donc une cohésion naissante.
Car une chose est sur, avec un Marcus Thornton en forme les Hornets pourront se qualifier en playoffs. Au cas contraire, le poste deux sera quelques peu orphelin même si Belinelli fait du bon travail !! Réponse dans quelques jours.
Comme la saison NBA approche à grand pas, Je vais à mon tour faire le bookmaker et donner une liste de plusieurs joueurs. Une liste qui a pour but de pronostiquer les meilleurs progressions de l'année 2010/11.
J.J Hickson (Cleveland Cavaliers)
La saison dernière, Hickson affichait déjà des bonnes stats. Avec 8.5 points et 5 rebonds en seulement 20 minutes. Il fut le faire valoir de Lebron James avant que celui ci ne déserte son poste de Franchise Player pour les palmiers de la Floride. Sans King James, J.J disposera d'une trentaine de minutes par match, il est l'un des fers de lance du renouveau des Cavaliers et aura l'occasion de s'approcher du double double de moyenne.
A l'âge de 22 ans, il a une bonne marge de preogression et des qualités physiques hors du commun. Si ce dernier à une hygiène de vie irréprochable et qu'il ne repose pas sur ses lauriers, l'ailier fort peut faire parler de lui cette saison.
Anthony Randolph (New York Knicks)
Le nouveau pivot des Knicks dispose de nombreuses qualités. Cette saison il n'a disputé que 33 matchs avec une blessure qui l'a contraint à s'assoir sur le banc. Combinons à cela le faible temps de jeu que lui laissait Don Nelson. Malgré tout le joueur de 21 ans aura sa chance dans l'effectif des Knicks avec un run and gun.
Randolph détient une détente sèche impressionnante. Il peut être performant aussi bien défensivement que offensivement. Il est en outre capable de faire des double double et de contrer beaucoup de joueur.
Si l'ancien pensionnaire des Warriors peut engranger plus de minutes dans sa nouvelle équipe, il est probable que sa ligne de statistique gongle.
Autre équipe mais poste similaire. Brook Lopez est sans l'ombre d'un doute le "plus NBA ready !". Une arme de destruction massive pour les Nets. Depuis le départ de Vince Carter, les Nets ne dispose pas d'un réel Franchise Player, ne me citez pas Devin Harris même si ce dernier reste un bon rôle player.
Avec près de 19 points et 9 rebonds de moyenne, à seulement 22 ans le pivot des Nets dispose déjà d'une palette offensive impressionnante. Il est également un très bon défenseur, rappelons qu'il n'est que Sophomore. Malheureusement ce dernier était bien esseulé dans son équipe dernièrement. Lopez a toutes les armes pour devenir un acteur pouvant tenir le role principal au cours de cette saison.
Robin Lopez
Le franchin de Brook Lopez n'est pas en reste. Avec le départ d'Amare Stoudemire, Robin Lopez aura un temps de jeu plus conséquent. Cependant, Robin n'a pas le même jeu que son frère mais peut aisément atteindre le double double de moyenne cette saison.
Avec Steve Nash à la baguette, Lopez dispose d'un aventage considérable. C'est à lui désormais de l'utiliser à bon escient.
Jrue Holiday
En seulement 24 minutes par match, Jrue a inscrit 8.2 points, distillé 3.8 passes et collecté 1.2 interceptions par match. En concurence direct avec Lou WIlliams, le joueur formé par UCLA pourrait bien impressionné tout le monde cette année. Les prévisions font de lui un futur bon meneur de jeu et cette année il se pourrait que son ratio de passes décisives et d'interceptions soient améliorés.
Près de 15 ans après, rien n’a disparu de la mémoire de Trevor Ariza actuel joueur des Hornets a délcaré lors d’une pause pendant le camp d’entrainement :
“Je pense toujours à lui tout les jours, vous n’oubliez jamais les personnes que vous aimez. Vous apprenez à vivre sans eux mais vous ne pouvez pas les oublier.”
Quand la mort frappe, la dureté de la perte dépend souvent des causes de la mort. Violente ou naturel ? Adolescent ? Enfant ?
Nous sommes en 1996 et Ariza avait alors 10 ans. Il habitait avec sa mère et ses deux frères Tajh 5 ans et Kenny 8 ans au Venezuela. Son beau père quant à lui poursuivait sa carrière de basket ball à l’étranger. Le Venezuela était le dernier stop de toute la famille qui a beaucoup voyagé pour suivre la carrière du beau père.
Le 8 mars 1996, Trevor et sa maman ont quittés l’hotel où il résidait pour accompagner Mcclary à un match qui se disputait à Caracas. Ses deux petits frères quant à eux étaient resté avec la baby sitter au 36ème étage de l’hotel.
“Mon plus petit frère était mon meilleur ami, on jouait ensemble tout les jours. Nous n’étions pas dans notre pays et ne parlions pas notre langue natale donc on était juste entre nous” déclare l’ailier shooteur des Hornets. Les deux frangins étaient inséparables sur tout les sujets, que ce soit : leurs rêves, leurs désires.
Ariza se rappelle de l’affection du jeune Tajh, la gentillesse qu’il affichait, le fait de cueillir des fleurs et de les offrir à sa mère, son intelligence reste éternel pour son grand frère.
C’est donc quelques temps après la fin du match du beau père, Tajh tombe du 36ème étage de l’hotel alors qu’il jouait avec son frère Kenny. Face à cette tragédie indescriptible, Ariza, son beau père et sa mère se sont évidemment posé la question de savoir "Pourquoi ? ", une façon d’atténuer leurs chagrins.
“Cela n’était pas facile c’est sur” dit Ariza au cours de la semaine. “Nous avons passé beaucoup de temps ensemble ... Mon frère a du chercher de l’aide mais je n’ai pas pu lui proposer …”
La mère d’Ariza ?
C’est toujours difficile pour elle et elle rechigne à en discuter de peur de faire partager ses émotions et de se rappeler de ses moments très durs.
“Elle m’a enseigné comment être fort et traverser cette mauvaise passe. Néanmoins, elle n’en parlera jamais car après un ou deux mots sur le sujet elle se mettra à pleurer.”
La douleur de Trevor s’est quelque peu estompé même si elle reste intacte. “Je célèbre un peu plus ma vie en faisant la fête, j’arrive maintenant à me lâcher. Je pense à lui quand je le fais pour rendre ses instants mémorables !!”
Comme il continue à faire la connaissance de Trevor Ariza, Monty Williams a dit qu’il n’a pas évoqué avec son joueur ce sujet. Mon sentiment est le suivant déclare le nouveau coach de New Orleans : “Si le joueur est prêt à s’ouvrir il le fera de lui même, je ne forcerais jamais une telle chose”. Rappelons également que la carrière de Trevor aurait pu être écourté avec une anomalie du coeur.
“Pour moi c’est un signe fort de la résistance de ce joueur, tout le monde ne perd pas son frère mais lui, il a cette faculté à surmonter les épreuves, il a les épaules solides.”
A l’âge de 15 ans, l’ex joueur des Lakers a fait son premier tatouage qui célèbre la vie de Tajh Ariza. La gravure est affiché sur le bras du joueur, sur la poitrine et le coup Tajh est encore bel et bien présent. Sur l’avant bras gauche du basketteur on peut également lire ceci : " “Blood is thicker than water. I am my brother’s keeper. Rest in peace, Tajh. I miss you.”
Il y a certains jours où il est sur que l’esprit de son frère est présent sur le terrain avec lui.
Je crois en la théorie de réincarnation puisque mon propre fils qui a 3 ans ressemble à Tajh, il a les même traits de visages.
“Certaines choses que mon fils fait, Tajh les faisaient également. Il est juste gentil comme mon frère l’était et parle comme il le faisait”.
Le nom du fils de Trevor est : Tajh
“Cela a été la décision la plus facile de ma vie !!”
Après le match d'hier soir qui opposait le Bresil à l'Argentine, on se disait alors qu'on avait vu le plus beau match de ce championnat du monde. Un match haut en couleur qui avait vu les coéquipiers de Luis Scola l'emporter de 4 petits points.
Mais c'était sans compter sans le suspens assourdissant que nous procurerait le match entre l'Espagne tenante du titre et la Serbie de Milos Teodosic. La Serbie qui a toujours eu des joueurs capable d'artiller de n'importe quelle position, avec en chef de liste Peja Stojakovic (aujourd'hui pensionnaire des Hornets et ancien joueur des Kings de Sacramento Kings à la grande époque).
Le match débute à 17h, heure française et les joueurs se rendent coup pour coup. A ce petit jeu c'est la Serbie qui est la plus forte. En moins d'une minute Bjelica inscrit 5 points et donne une passe décisive pour permettre aux siens de creuser l'écart. La Serbie mène de 10 points alors qu'il ne reste que 2 minutes et 30 secondes dans le premier quarts temps. Navarro remet l'Espagne sur de bons rails il inscrit 8 points en moins de 2 minutes pour ne plus compter que 4 points en retard à l'entame du second quarts temps.
Le jeu se calme par la suite, 2 minutes sans aucun point marqué. Krstic rate ses lancers francs et Reyes manque ses shoots. Llul fraichement rentré apporte de la vivacité mais rate pas mal de choses, c'est le moment que la Serbie choisit pour repartir de l'avant. Kesselj, Savanovic et Teodosic en profite pour creuser une nouvelle fois l'écart. Un écart qui se veut significatif puisqu'il alterne de 6 à 8 points.
Garbajosa alias "l'éternel" ne peut pas imaginer une défaite de son équipe en quarts de finale, c'est pour cela que le serial shooteur nous gratifie de deux 3 points consécutifs. Kesselj et Krstic reste bien dans le match pour ne pas céder à la pression espagnol. A la mi temps le score est de 49 à 41 en faveur de la Serbie.
Le public pousse pour que l'Espagne tienne son rang et, le moins que l'on puisse dire c'est que les coéquipiers de Ricky Rubio ne s'en laisse pas compter et recolle directement à la serbie avec un run de 10/0 pour mener de 2 petits points. Kesselj permet encore une fois à son équipe d'espérer un upset sur l'Espagne en plantant un magnifique 3 points, bien que esseulé. Les deux équipes effectuent un très beau basket, le public de passionné ne s'était pas trompé.
Garbajosa conteste mais il vient en effet de comettre une faute anti sportive sur le joueur du Thunder Nenad Krstic. Malheureusement, le corps arbitral n'est pas dans le coup, oubliant beaucoup de sifflet et laissant l'Espagne faire des énormes reprise de dribble et des 3 secondes violation laissé avec éffarement. Un laxisme qui laisse les ibériques revenir dans la partie et se mettre à hauteur de leur adversaire d'un soir. Cependant, Velickovic qui vient d'atteindre les 17 points ne l'entend pas de cette oreille.
Au début du dernier quarts temps, La serbie mène de 3 points et voit au fil des minutes la qualification pour une demi finale se rapprocher à grand pas. Le show Savanovic peut enfin reprendre. Le joueur de Cajasol en Espagnen'est pas un enfant de coeur, il n'a aucune pitié pour le pays qui le voit jouer la majeure partie de l'année.
Un shoot qui d'une extrème légèreté quand ce dernier entre dans les filets peut s'apparenter à un coup de fusil. Ce garçon fait très mal à l'Espagne car après avoir eu la gachette facile, il hérite du ballon piqué à Navarro et s'en va inscrire le 82ème point de son équipe. Temps mort demandé par l'Espagne. Notons que depuis 2 minutes Teodosic est sur le banc car ce dernier a collecté 4 fautes.
Il reste alors 4 minutes et Bjelica sort du terrain après avoir effectué sa 5ème faute. Garbajosa qui a récolté un lancers franc supplémentaire le rate. A deux minutes du terme de la rencontre un time out est demandé par le coach serbe car son équipe ne compte plus que 2 points d'avance !! La faute à un Rudy Fernandez très productif avec 15 points dans cette seconde période. Rubio très peu convaincant dans ce match, malgré la hype qui tourne autour du personnage est à deux doigt de blocké le 3 points de Kesselj mais ce dernier est clutch comme jamais.
5 points d'avance et 1 minute 30' à jouer. Navarro répond à Kesselj avec un autre 3 points. 1 minutes à jouer et seulement deux points sépare les deux formations. Les serbes ratent un énième 3 points et la possession est pour l'Espagne. Marc Gasol effectue un jolie pick and roll pour conclure sur un dunk surpuissant ! 25 secondes timeout pour la Serbie. Ballon monopolisé par Teodosic qui malgré les 8 secondes restantes est proche de la ligne médiane.
Il remonte le terrain effectue un dribble sur son vis à vis avant de conclure un trois points .. un trois points .. un trois points comment le décrire ? Venu d'ailleurs nan, trop soft ! bref les mots me manquent pour illustrer ce qu'a fait Teo', personne ne peut l'exprimer. La Serbie ne sera plus rejoins puisque Garbajosa perd le dernier ballon. L'Espagne a t-elle perdu tout crédibilité ? Après un championnat d'Europe d'athlétisme Moyen dominé par les Française et les Russes, une défaite 4 buts à 1 face à l'Argentine en football et une défaite en quarts de finale de ce championnat du monde, la mode espagnole semble dépassée.
On le sait, New York est une ville dont les habitants sont très exigeants. Une exigence dû au faite que l'équipe masculine de Basket les Knicks ne leurs offrent pas gain de cause depuis maintenant 10 ans. Mais New York tient sa nouvelle coqueluche en la personne de Cappie Pondexter. Lauréat de l'édition 2009 avec les Mercury de Phoenix, Cappie est venu renforcer la franchise de la Big Apple. En échange New York avait dû céder Shameka Christon et Cathrine Kraayeveld. Choix que ne regretteront pas les New York puisque les voici en playoff contrairement à l'édition de 2009.
La bataille finale fera rage au Madison square garden pour les demis de conférence face au Fever d'Indiana. Après un game 1 totalement maitrisé par les joueuses de Carol Blazejowski, les New Yorkaises se relâche et perdent le deuxième match qui avait lieu à Indianapolis. Un troisième match est donc obligatoire pour départager les deux équipes. Le Madison Square Garden accueil alors les deux équipes et un public composé de 16682 spectateurs chauffé à bloc.
Dès les premières minutes de jeu, Cappie Pondexter prend les devant et inscrit 8 poins lors du premier quarts temps. Une performance qui ne permettra pas aux New Yorkaises de virer en tête car l'attaque des Fever s'est montré bien plus productive. A la reprise du deuxième quart temps les joueuses se sentent plus impliquées, bien aidé par un public survolté qui compte bien poursuivre l'aventure. 26/26 au début du second quart temps avec un trois points de miss Pondexter. New York fera cavalier seul durant un bon bout de temps, mais à 3 minutes de la mi temps le collectif s'effondre laissant place à l'abnégation.La statue n'est pas encore en berne mais New York est devancé à la mi temps d'un petit point.
Un panneau fait alors son apparition : Avalanche de 3 points. En effet les Fever sous la houlette de Katie Douglas, les Fever plombent 3 points sur trois points, ce qui leur permettra de mener de 7 points au milieu de la 3ème reprise. New York s'accroche mais c'est une évidence, Katie prend feu. A 2 minutes de la sonnerie du troisième quarts elle replante un 3 points (+6), Cappie est une battante et ne se laisse pas abattre. Elle ramène son équipe à trois unités grâce à un lay up et une passe décisive pour McWilliams Franklin. Carsson effectue également une belle partie, on ne reconnait plus la jeune fille qui décevait lors de la saison régulière.
Kia Vaughn fait son retour sur le parquet et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle ne perd pas son temps. Partageant le scoring avec Pondexter elle permet à la ville qui ne dort jamais de s'accrocher(le dicton se vérifiera par la suite.) La faillite offensive d'Indiana est de mise dans ce dernier quarts temps mais les Liberty n'en profite pas, du moins pas pour le moment.
Il reste 3 minutes à jouer et NY a presque comblé son retard puisque un petit point les séparent de leur adversaire d'un soir. Deux minutes plus tard rien n'est inscrit, le déficit New Yorkais n'est toujours pas rattrapé. La patience est une vertue c'est ce qu'a compris Cappie. A une minute du terme de la rencontre elle s'incruste dans la raquette et y va de son lay up. Cappie obtient un lancer franc supplémentaire, qu'elle transformera par la suite. New York reprend enfin l'avantage. Oui enfin, car cela faisait 27 minutes que les Fever menait au score.
Une course poursuite est alors engagée entre les deux équipes. Hoffman remet les deux équipes à égalité à 50 secondes de la fin. On entend alors MVP MVP MVP dans la salle du Madison Square Garden. A qui est-il adressé ? Il n'y en a qu'une qui peut recevoir de telle acclamation : "Cappie"taine Pondexter !!
43 secondes à jouer, c'est à dire deux possession (si on se base au 24 secondes). Cappie décoche un lay up spectaculaire à la limite de l'impensable. Par la suite, Tamika Catchings rate l'immanquable et permet à Vaughn de capter le rebond. 1/2 au lancer franc, 3 points d'avance, mais le plus dur est fait New York sera belle et bien en finale de conférence. Yes you can !
En interview d'après match, Pondexter est interviewé, elle semble dythirambique. Elle crie : "NEW YOOOOOOOOOOOOORKKKKK, C'est pour Maman" un attachement qui lui vaudra une standing ovation. La nuit sera courte pour les 16000 spectateurs du Madison Square Garden ...
Beaucoup moins reconnu que la NBA et à juste titre car bien moins spectaculaire. Un basket bien moins prodigieux disputés par des femmes d'ou le nom de l'association : WNBA. Beaucoup plus de turnovers, d'erreurs techniques mais la démocratisation est en route. Il est donc logique d'y consacrer un article.
La saison régulière vient de s'achever, en route pour les playoffs. Cette année le titre se disputera entre Seattle, Los Angeles, Phoenix, San Antonio, New York, Indiana, Atlanta et la capitale qu'est Washington.
Un championnat tout neuf car les équipes les plus anciennes ont été créées en 1997. Ils sont quatre à avoir pris les devant : New York Liberty, Los Angeles Sparks, Phoenix Mercury et San Antonio Silverstars.
Un championnat composé de 16 équipes (8 équipes à l'Est et 8 à l'Ouest) il est donc logique que les playoffs ne se joue au final qu'à 8 équipes. Mais d'où vient le phénomène grandissant de la WNBA, avant de revenir sur les playoffs ?
Il est très simple, tout comme en NBA, bons nombres de joueuses européennes ont fait les beaux jours de cette compétition. Avant de venir à la cuvée européenne, voici quelques africaines. Matee Ajavon natif du Libéria a été sélectionné en 5ème position en 2008 et compile près de 6 points cette année. Elle a aidé les Washington Mytics à se qualifier pour les playoffs.
Mais elle n'est pas la seul en Afrique notamment, puisque Hamchétou Maïga- Ba (Mali évoluant notamment pour les Monarchs de Sacramento avec qui ele a gagné un titre), Mwadi Mabika (Congolaise a joué pour les Stars de San Antonio gagnant le championnat en 2001 et 2002), Chanel Mokango (Congo drafté par Atlanta en 10ème position).
L'afrique n'est cependant pas le seul représentant dans cette ligue. L'Europe est dignement représenté par des filles tels que : Elena Baranova (Russie, première joueuse européenne à intégrer la WNBA), Margo Dydek (Pologne, plus grande athlète : 2m18), Sandrine Gruda (France et ancienne joueuse de Connecticut), Ann Wauters (Belgique), Ticha Penicheiro (Portugal) ou encore Nuria Martinez (Espagne). Sans oublier l'Australie avec Penny Taylor (Trois fois MVP) et la grande Lauren Jackson, le Brésil, la Grèce, la Letonnie, la liste est longue. N'oublions pas l'arrivée de Marion Jones qui aura susciter l'intérêt des Américains.
Retour aux playoffs, l'année dernière ce sont les Mercury de Phoenix qui ont remportés le championnat en battant en finale les Fever d'Indiana au terme de 5 matchs. Phoenix avait su renverser la tendance après avoir été mené 2/1 dans la série.
Cette année, les deux équipes sont encore présente dans le dernier carré, néanmoins pas au meilleurs places possibles. Phoenix se classe 2ème à l'Ouest derrière Seattle, tandis que Indiana ne finit que 3ème derrière New York et Washington.Diana Taurasi MVP des finals 2009 (MVP saison régulière, All star game et final Four) pourra t'elle encore une fois mené son équipe à la victoire ? Rien n'est moins sur.
Chaque grosse écurie à sa scoreuse attitrée. Pour les Liberty de New York il s'aggit de Cappie Pondexter fraichement arrivée dans la big apple, elle a fait un bien fou à sa franchise compilant près de 22 points, près de 5 rebonds et passes décisives. Cappie a déserté Phoenix pour New York, espérons pour elle, qu'elle ne regrettera pas son choix.
Autre attractions de ses playoffs mis à part la New Yorkaise et bien entendu Diana Taurasi, il y'aura bien entendu Lauren Jackson pour les Storm de Seattle, qui avec une saison régulière excellente pourrait bien faire cavalier seue dans ses playoffs. Tamika Catchings pour les Fever aura également son mot à dire néanmoins Liberty ou Fever sortiront au premier tour puisque les deux franchises se rencontrent d'entrée.
Rappel : Seul la finale se joue en 3 matchs gagnants, pour le reste 2 matchs gagnants. La conférence Est semble supérieur puisque le dernier qualifié qu'est Atlanta détient un ratio de 55.9 pour cent de victoire alors que Los Angeles est un qualifié par défaut avec 38.2 pour cent de victoires.
Le tableau :
Seattle Storm (1) vs Los Angeles Sparks (4) : Remake de l'an passé.
Phoenix Mercury (2) vs San Antonio Silver stars (3)
Washington Mystics (1) vs Atlanta Dream (4)
New York Liberty (2) vs Indiana Fever (3)
Carmelo Anthony un joueur faisant partie d'une génération dorée mais avec un caractère bien trempé. Le joueur des Denver Nuggets, un des meilleurs offensivement mais avec une défense passive pourrait bientôt changer d'air.
Natif de Brooklyn l'ailier des Nuggets de Denver ne semble plus vouloir poursuivre avec la Franchise du Colorado. Mais d'où est venu cette idée loufoque, alors que le club est en train de battir le Roster autour de lui.
Depuis l'arrivée de Chauncey Billups, Carmelo Anthony a beaucoup évolué. L'ex meneur de Detroit a tout de suite pris le scoreur de Denver sous son aile. Souvent dans l'ombre de son camarades de draft Lebron James, Melo a toujours fait parmis des meilleurs joueurs à son poste.
Dès son arrivée en 2003/2004, Melo fait du bien à Denver. Il compile 21 points et 6.1 rebonds par match et permet aux Nuggets de passer de 17 victoires en 2002/2003, à 43 victoires en 2003/2004. Des playoffs bâclés, Melo est encore en phase d'apprentissage.
En 2004/2005 rien ne change, l'ailier est toujours aussi performant dans son scoring. Consécration pour le Nuggets qui parvient à accéder au All Star Game en lieu et place de Rashard Lewis (Melo sera élu par les coach). L'évènement aura lieu à Denver.
Malheureusement Carmelo n'arrive toujours pas à élevé son niveau de jeu en playoffs. Les Nuggets n'arrivant pas à passer le premier tour face aux Spurs.
Sa mentalité est discutable. Malgré son niveau de jeu, l'ailier des Nuggets est au coeur d'une bagarre qui éclate entre son équipe et celle des Knicks de New York, déclenché par Mardy Collins et J.R Smith.
Les bonnes saisons du jeune homme perdurent et cette stabilité portent enfin ses fruits lors de la saison 2008/2009. Au premier tour les Nuggets étrillent les Hornets 4/1 avec un des 5 matchs avec plus de 50 points d'écarts. Billups défendant à merveille sur Chris Paul et laissant Carmelo Anthony en tant que première arme offensive.
Tout semble sourire à Melo et à son équipe, puisque lors des demi de conférence, Denver vient à bout des Mavericks de Dallas pourtant emmené par Dirk Nowitzki !! 4 victoires à 1. Anthony se montre enfin à la hauteur en inscrivant plus de 28 points dans ses playoffs.
Malheureusement cela ne suffira pas aux Nuggets pour s'imposer face aux inusables Lakers de Kobe Bryant.
D'un point de vue personnel la saison 2009/10 sera la meilleur pour Carmelo mais les Nuggets tardent à confirmer leur immense potentiel. Début Juillet Carmelo Anthony se marie et déclare en compagnie de Chris Paul "Nous allons également formé notre Big Three à New York". Des déclarations chocs qui mettent notamment dans l'embarras le meneur des New Orleans Hornets, qui se justifiera par la suite. Mais ce transfert n'aurait pris effet que lors de la saison 2011/2012. Cette saison New York ne peuvent proposer que Gallinari + Curry, alors que la saison prochaine Melo sera Free agent.
Orlando quant à eux proposent Vince Carter + Rashard Lewis ce qui s'avère être un trade bien plus avantageux.
Même si on voit mal les Nuggets se séparer d'Anthony il faut se rendre à l'évidence.
Exit les révélations de Carmelo, le malaise est palpable, la resignature du joueur tarde. Début Août, Melo décide de ne pas resigner malgré les remontrances de son coéquipier Chauncey Billups. Qui le remplacera ? On doute que Karl laisse les clés à Al Harrington !
Que s'est t-il passé en interne pour que Carmelo Anthony décide de partir ? Le ras le bol de ne pas arriver en finale de playoffs malgré le potentiel de la Franchise du Colorado ? Arrivée dans un big three tout comme la fait son rival Lebron James ? Arrivée dans la ville de son enfance ? Jouer avec son ami Chris Paul dans une équipe qui dispose d'argent nécessaire ? Ou tout simplement pour changer d'air.